Scène hallucinante : il consomme de la cocaïne dans la salle d’attente d’un commissariat avant d’être arrêté

Incroyable mais vrai : il consomme de la cocaïne dans une salle d’attente de commissariat… et déclenche aussi la tempête dans les commentaires ! Retour sur une scène surréaliste relatée par El Caso, et sur l’incroyable avalanche de discussions politiques qu’elle a provoquée en ligne.

Un comportement hallucinant en commissariat

Vers 23 h 30, un homme d’une trentaine d’années se présente, sans tambour ni trompette, dans un commissariat espagnol. Il demande calmement à parler à un agent, mais se garde bien de préciser son motif. Accueilli comme tout visiteur lambda, il est alors invité à patienter dans la salle d’attente. L’histoire s’annonce banale. Si vous pensiez que l’attente chez le coiffeur était longue, attendez la suite !

Alors qu’il attend qu’un agent vienne s’occuper de son cas, l’homme ne trouve rien de mieux à faire que de sortir un sachet contenant de la cocaïne. Selon El Caso, il ouvre tranquillement son paquet, prélève une dose avec le doigt, et la consomme, là, simplement, sous le nez (sans mauvais jeu de mot !) des policiers. On parle bien d’un commissariat, pas d’un club privé.

Course-poursuite en salle d’attente

Cette scène pour le moins cocasse, mais pas franchement légale, provoque rapidement la réaction attendue : les Mossos, policiers catalans, lui demandent son identité. Aussitôt, l’homme s’agite, comme dans toute bonne série policière. Pourtant, il n’a ni costume ni badge, et encore moins d’échappatoire. Selon la presse, il faudra plusieurs minutes pour parvenir à le maîtriser. L’attente n’était visiblement pas dans ses cordes.

Au-delà de l’arrestation : perquisition et bilan médical

Après avoir calmé la situation (on imagine que l’ambiance s’est un peu tendue sur place), les policiers décident une perquisition à son domicile. Bilan : plus de 20 grammes de cocaïne saisis, mais – détail piquant – aucun papier d’identité trouvé. L’individu est formellement arrêté pour possession et consommation de drogue. Il ne gagne pas pour autant la case prison : direction l’hôpital, cette fois, pour passer des examens médicaux.

  • Arrivée au commissariat sans motif annoncé
  • Consommation de cocaïne dans la salle d’attente
  • Refus (ou incapacité) de donner son identité, agitation à la clé
  • Arrestation après plusieurs minutes d’efforts
  • Perquisition avec saisie de drogue
  • Hospitalisation pour contrôle

Quand la politique s’invite dans la discussion

Mais l’affaire ne s’arrête pas là, loin de là ! Sur internet, les commentaires dérapent immédiatement. Que vient faire le débat politique sous un fait divers aussi désopilant ? Certains internautes laissent de côté la cocaïne pour s’attaquer à… la classe politique toute entière. Ici, discussion sur de potentiels détournements de millions, là soupçons de malversations, et même une réflexion sur la probité de tel ou tel parti. D’aucuns accusent à la fois le RN, ses adversaires de gauche ou de la majorité, et rappellent procès, chiffres électoraux et retraites à tout va. D’autres s’agacent à raison de voir surgir ces débats en commentaire d’un fait divers de consommation de drogue dans un commissariat, et le soulignent avec ironie.

Certains internautes interrogent la confiance à accorder aux politiques, dressent la liste des insatisfactions envers tous les grands partis, et proposent – comme si l’événement du commissariat avait ouvert la voie à un état des lieux de la démocratie – d’essayer ceux qui n’ont pas encore été au pouvoir. On croise au passage, dans cette tempête de commentaires, des références à Bardella, Marine Le Pen, Macron, Édouard Philippe, la gauche, les écolos à 3 %, le PCF, le LFI, jusqu’au débat sur la retraite. Rien ne leur échappe, sauf peut-être, l’objet de départ : la scène surréaliste du commissariat.

Moralité ? Quand un fait divers sort de l’ordinaire, il révèle à quel point l’ordinaire du débat public, lui, est inépuisable. Entre stupéfiants et polémiques, chacun choisira sa drogue. Mais pour vos prochains passages au commissariat, préférez quand même le café à emporter – c’est légal, et vous risquez seulement de patienter, pas de repartir menotté.