Un mariage émouvant pour Passe-Muraille : « Un Oui pour la vie » loin des projecteurs, la vraie histoire derrière Fort Boyard

Quand l’émotion franchit les murs plus sûrement que Passe-Muraille lui-même, c’est qu’il se passe quelque chose de vrai, loin des projecteurs. Derrière l’aura bienveillante de Fort Boyard, l’histoire d’Anthony Laborde alias Passe-Muraille et Gaëlle Dassy tisse une jolie parenthèse où la célébrité fait place à l’authenticité. Petite plongée dans les coulisses d’un « Oui pour la vie » aussi discret qu’émouvant.

Une rencontre qui change tout : de la dédicace au coup de foudre

  • 2009 : Au détour d’une séance de dédicaces, Anthony Laborde croise Gaëlle Dassy parmi les fans. Il y a des regards qui ne trompent pas, et celui-là fait date selon Le Parisien.
  • Le décor n’est pas anodin : l’ambiance médiatique installe le souvenir, l’histoire prend racine hors caméras.
  • Et pourtant, c’est loin des projecteurs que l’essentiel se construit – il en témoignera sur le plateau de Toute une histoire en 2014. Là, pas de strass mais un vrai coup de foudre, simple comme « la bonne personne au bon moment ».

On est loin de l’anecdote people habituelle : ce récit frappe parce qu’il tranche avec le vernis des rencontres sous les projecteurs. Difficile de faire plus sincère, et ça marche !

La force tranquille d’un couple à l’abri du bruit

  • Leur secret ? La sobriété, érigée en boussole.
  • Chacun garde ses repères, la relation s’organise autour de valeurs cardinales : respect, confiance, constance.
  • Fort Boyard flotte comme un écho affectif, mais n’est jamais une étiquette collée sur la vie privée.

Les proches le disent : ce duo avance sur un rythme maîtrisé, dans une solidité paisible, faite d’attentions concrètes. La légende médiatique reste à distance, juste assez présente pour rappeler d’où l’on vient, mais jamais envahissante. Les années vont affiner les choix, non les figer ; elles tracent des habitudes rassurantes, qui fortifient le couple et la famille.

Chronologie d’une promesse : patience, simplicité et l’évidence d’un cap

  • 2013 : Le couple passe un cap avec le Pacs.
  • 2019 : Un fils vient tendre le fil d’une priorité nouvelle et anonyme.
  • Janvier dernier : demande officielle, sobre et sans fard, gestes simples, émotions lisibles, sincérité sans détour.
  • Le 27 septembre 2025, à La Ferté-Bernard, le « Oui pour la vie » prend forme : la promesse est scellée devant les proches, les images échappent à toute mise en scène outrancière et respirent une élégance sans artifice.

Anthony, à 43 ans, plus connu sous le nom de Passe-Muraille, soigne chaque mot pour ne pas en faire trop. Le message publié après l’annonce dit tout : « Un Oui pour la vie ». Simple, direct, essentiel. La lumière, il l’assume, mais c’est pour mieux en protéger ce qui compte réellement.

Quand la vie réelle croise la fiction, l’émotion fait salon

  • Gaëlle, 34 ans, originaire de Bergerac, avance à la même cadence, sans jamais précipiter les choses.
  • Autour d’eux, les proches louent l’équilibre né de la durée, cette construction patiente où l’on s’apprivoise et s’encourage.
  • Cerise sur le gâteau, la vie et Fort Boyard se font un clin d’œil : Gaëlle est la fille de Patricia Dassy, aujourd’hui en couple avec André Bouchet, alias Passe-Partout – grâce à Anthony et Gaëlle. Le cercle se referme, naturellement, sans écran de fumée.

Ce mariage ne vient pas tout bouleverser. Il confirme un équilibre déjà là, l’histoire d’un couple qui dure, d’une famille qui organise les priorités sans jamais dévier de l’essentiel. Il y a de la pudeur, de la fierté, et énormément d’émotion dans ce symbole partagé tout en sobriété. Le public sourit, les proches applaudissent, tandis que Fort Boyard, fidèle repère affectif, reste à bonne distance, témoin silencieux d’une union qui se vit plus fort hors des projecteurs.

La vraie histoire derrière Fort Boyard, c’est peut-être celle-ci : la constance d’un duo qui avance loin du bruit, mais non sans chaleur – et qui rappelle, en toute humilité, que certains « oui » valent mille défis et qu’ils franchissent tous les murs, même les plus épais.